Naples : le quartier espagnol
et ça monte et ça descend
et ça remonte et ça redescend...
Ces volées d'escaliers donnent accès à un quartier pittoresque s'il en est, aux rues et ruelles étroites, avec le linge qui pend aux fenêtres, qui franchit la rue d'une fenêtre à l'autre, qui sèche entre les terrasses et les scooters.
les maisons, au rez de chaussée, s'ouvrent par des portes et fenêtres qui nous font plonger direct dans l'intimité des habitants : cuisines, salle à manger-salons, TV, musique. Parfois un scooter squatte le salon.
On est en juillet, il fait chaud, on vit "dehors", chaises et parfois tables sorties.
le quartier (comme tous les quartiers populaires à Naples), n'a pas renoncé aux "petits commerces" et les épiceries étroites le disputent aux charcutiers et autres vendeurs de pâtes et laiteries. Boutiques minuscules qui me font penser aux commerces du Maroc que je connais bien. Entassement des packs d'eau, lessive, ect qu'il faut franchir pour entrer dans le magasin.
un quartier pauvre, certes, mais vivant et sympa. les sourires sont souvent au RV des enfants qui voyagent avec nous.
du haut de ces ruelles, on aperçoit souvent la silhouette du Vésuve, ombre qui ne fut pas toujours bienveillante, nous le verrons à POMPEI et HERCULANUM, mais qui apporte aussi à a la région la richesse de la terre.
échappées vers le volcan
le linge et les oratoires de rue
oratoire
collector
nombreux oratoires de rues : les disparus ne sont pas oubliés, et la foi, ou bien la religiosité à la limite de la superstition, semble très vivace.
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